• Ce sont bien eux qui souillent vos repas fraternels, lorsqu'ils font bombance et se gavent sans pudeur : nuages sans eau emportés par les vents ; arbres de fin d'automne, sans fruits, deux fois morts, déracinés ; - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • Il répondit : « Tout plant que n'a pas planté mon Père céleste sera arraché.
  • Ainsi, nous ne serons plus des enfants, ballottés, menés à la dérive à tout vent de doctrine, joués par les hommes et leur astuce à fourvoyer dans l'erreur.
  • Par ma vie — oracle du Seigneur DIEU — parce que mon troupeau a été razzié, parce qu'il a servi de proie à toutes les bêtes sauvages, faute de berger, parce que mes bergers ne sont pas allés à la recherche de mon troupeau, mais que ces bergers se paissaient eux-mêmes sans faire paître mon troupeau,
  • Des nuages, du vent, oui ; de la pluie, non ! Tel celui qui se targue d'un cadeau illusoire.
  • Leur fin sera la perdition ; leur dieu, c'est leur ventre, et leur gloire, ils la mettent dans leur honte, eux qui n'ont à coeur que les choses de la terre.
  • Ces gens sont des fontaines sans eau et des nuages emportés par la bourrasque : les ténèbres obscures leur sont réservées.
  • D'autre grain est tombé sur la pierre ; il a poussé et séché, faute d'humidité.
  • En passant le matin, ils virent le figuier desséché jusqu'aux racines.
  • quand le soleil fut monté, il a été brûlé et, faute de racines, il a séché.
  • Voyant un figuier près du chemin, il s'en approcha, mais il n'y trouva rien, que des feuilles. Il lui dit : « Jamais plus tu ne porteras de fruit ! » A l'instant même, le figuier sécha.
  • le soleil étant monté, ils ont été brûlés et, faute de racine, ils ont séché.
  • Que vais-je te faire, Ephraïm ? Que vais-je te faire, Juda ? Votre amour est comme la nuée du matin, comme la rosée matinale qui passe.
  • car ils se faneront aussi vite que l'herbe, et comme la verdure, ils se flétriront.
  • « Fils d'homme, prononce un oracle contre les bergers d'Israël, prononce un oracle et dis-leur, à ces bergers : Ainsi parle le Seigneur DIEU : Malheur aux bergers d'Israël qui se paissent eux-mêmes ! N'est-ce pas le troupeau que les bergers doivent paître ?
  • Dis : Ainsi parle le Seigneur DIEU : Pourra-t-elle prospérer ? L'aigle ne va-t-il pas arracher ses racines, laisser son fruit se flétrir, et sécher ? Toutes ses pousses arrachées sécheront. Nul besoin d'un bras puissant, ni de beaucoup de gens pour la déraciner !

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